Le week-end à L’Entrepot vient de s’achever, et ce fût un beau moment grâce à l’énergie combinée d’une quinzaine d’auteurs surmotivés (rarement on aura vécu une session des 24 heures de la bande dessinée aussi studieuse et aussi calme !), grâce également à l’équipe de L’Entrepot (que nous remercions une fois encore de cet bel accueil qui nous fût fait), et d’un public de curieux qui s’est déplacé (particulièrement le dimanche) : à vous tous, mille mercis, l’expérience a été très belle grâce à vous tous !

Nous posterons dans les prochains jours quelques photos et autres surprises relatant le week-end, mais pour l’heure, il est temps de ranger les cartons de bouquins, puis de dormir un peu aussi : avant cela, nous vous invitons à lire (ou à relire) les multiples histoires nées de ce week-end et publiées chez les copains de Grandpapier, à qui nous adressons un énième merci pour nous avoir convié à monopoliser la plate-forme de publication en ligne ces trois derniers jours.
Toutes les histoires sont donc en ligne ici-même.

capture écran GrandPapier
Enfin, et parce qu’ainsi va la vie, ce week-end s’est terminé sur une triste nouvelle doublée d’une coïncidence troublante : l’ami Francis Vadillo, dont nous avons projeté le documentaire « Undergronde » vendredi soir pour ouvrir ce dernier week-end, s’en est allé user son perfecto dans d’autres coins. Francis était un activiste forcené parmi les plus acharnés que l’on ait croisé. Son territoire de jeu était très, très vaste, et le nombre de ses amis tout autant : sa générosité était précieuse pour les acteurs du petit  « milieu » dans lequel nous voguons tous tant bien que mal, et cela ne datait pas d’hier.

Francis Vadillo, mai 2014

Nous pensons fort aux siens, et nous joignons à la grande, très grande clique des nombreuses personnes à qui il manquera, et à qui il manque déjà, tout comme à nous.